Après un vol à Sao Paulo en décembre, deux nouvelles toiles du peintre catalan ont été barbotées mercredi soir dans un musée suisse, confirmant Picasso comme le favori absolu des cambrioleurs de tableaux. Ce qui est plutôt illogique, puisque ses oeuvres, extrêmement bien répertoriées, sont invendables officiellement. La tendance tendrait à confirmer l'existence - encore contestée- des vols sur commande de collectionneurs constituant leur collection par le pillage de tableaux soigneusement ciblés.

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